Mon frère est victime de fausses accusations de la part de sa femme.
Celle-ci a déposé plainte contre lui au commissariat. Les policiers l'ont orienté vers le psychiatre de l'UMJ qui lui a prescrit un ITT de cinq jours.

Un soir, en rentrant du travail, il a reçu une convocation dans ce même commissariat.
Lorsqu'il s'y est rendu, il a pris connaissance de la plainte de son épouse et immédiatement, il a été mis en garde à vue. Durant cette garde à vue, il n'a pas pu parler des violences qu'il subissait de la part de son épouse. La garde à vue a duré deux jours et ensuite il a été relâché.

Il est convoqué devant le tribunal début ***.

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